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Dans le sillon de pionniers du bio, bien décidés à garder la Terre Vivante
L’équipe de Terre vivante en 2024 © Jérémy Tacussel À l’origine de Terre Vivante, le rêve de sept amis de rendre l’écologie accessible au plus grand nombre. Un rêve un peu “fou” à l’époque, car nous sommes en 1979, à la sortie des Trente Glorieuses. Depuis, l’association a pourtant pris un essor incroyable : de la publication du magazine Les quatre saisons du jardinage, jusqu’à la création d’un centre écologique dans les Alpes, en passant par la publication d’un premier livre. Aujourd’hui, devenue Scop, Terre vivante regroupe toujours ces trois domaines d’activité : le magazine, l’édition et l’éco-centre, extraordinaire laboratoire pour l’agriculture biologique et l’écologie. Si la crise est là,…
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Bienvenue !
Alors que je fulminais un soir après un passage sur les réseaux sociaux – “quel monde peut mettre sur un piédestal des “influenceurs” payés des fortunes pour faire la promo de produits de m**** ?!” – j’ai eu l’idée de partir à la rencontre de “mes” influenceurs : les gens qui sont pour moi une source d’inspiration par leurs engagements et leur envie de changer le monde. Je vous emmène avec moi, histoire de semer quelques graines d’espoir dans ce monde de brutes ! Retrouvez ma rubrique Gwen d’espoir dans Le Gobelin magazine : https://www.legobelinduternois.com/le-magazine/
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L’épicerie d’aujourd’hui : Charlotte Victor Harmand a créé un commerce porteur de sens
Charlotte Victor Harmand s’est lancée à son compte avec pour objectif ultime de préserver la planète. Charlotte Victor Harmand a ouvert l’Épicerie d’aujourd’hui en mai 2021, en plein cœur de Saint-Pol-sur-Ternoise. La jeune maman a souhaité donner du sens à sa carrière et rendre accessible au plus grand nombre le vrac, le bio et le local, pour préserver la planète. Après des études de commerce, Charlotte Victor Harmand est embauchée à Auchan, où elle avait effectué son alternance. D’abord manager de caisses, elle est ensuite chef de rayon produits frais. “J’avais fait le tour”, estime-t-elle. Alors, elle rejoint Ikea, où elle devient responsable des relations clients, pendant cinq ans. “La…
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Mode : Chloé Brochard ou le made in France comme évidence
Chloé Brochard ©Audrey Bardou Studio Ancienne auditrice financière, Chloé Brochard a créé sa marque de vêtements écoresponsables made in France. À 30 ans, et alors qu’elle vient de devenir maman, la jeune femme souhaite retrouver du sens à son activité. En 2019 naît April & C dans sa région d’adoption de Montpellier. Rencontre avec une créatrice aux antipodes de la fast-fashion. Un bac ES en poche, la Savoyarde d’origine intègre une école de commerce à Montpellier. Cinq ans plus tard, elle décroche son diplôme et part six mois à l’étranger avec son conjoint pour s’offrir une pause et prendre le temps de réfléchir à la suite. De retour en France,…
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Les Voix vertes du Ternois, comme lanceurs d’alerte sur l’environnement
Crédit photo : Le Gobelin du Ternois Dans le Ternois, un collectif de citoyens s’est créé pour défendre des valeurs écologiques et mener la lutte contre le changement climatique. Créées en 2022, les Voix vertes du Ternois enchaînent les combats. Rencontre avec Michel Feutry, son représentant. Michel Feutry, 68 ans, a la fibre écolo. “Je suis un ancien technicien agricole : j’ai vendu des poisons, Roundup, etc. ! À l’époque où le mec de Monsanto disait qu’on pouvait le boire… J’étais jeune et j’avais besoin d’un boulot… Mais j’ai vite viré ma cuti”, sourit l’homme, qui mangeait déjà bio à ce moment-là. Après un congé parental, Michel Feutry crée sa…
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Marie et Pascal, maraîchers reconvertis, défenseurs du bio pour tous
Ils ont fondé Les Sens de la Terre. Marie Bailleul et son compagnon Pascal Thavaux ont quitté le domaine de la métallurgie et se sont reconvertis en maraîchers bio. Proposer des produits de qualité, locaux et de saison, à des prix justes, est leur credo, pour favoriser le bien manger pour tous.
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Le Gobelin du Ternois : un journal pour penser le monde (meilleur) de demain
Le Gobelin du Ternois, c’est d’abord une histoire d’amitié. Un délire né de soirées arrosées. Un rêve “vieux” de 2013 : créer un journal, “un média libre, indépendant et différent”, “un endroit où on pouvait dire ce qu’on voulait”. Pierre Vion et Romain Dezèque passent à l’action en 2017 et, en août, le rêve devient réalité. Pierre Vion et Romain Dezèque sont tous deux natifs du Ternois. Cinq années les séparent mais c’est déjà le journalisme qui les rassemble, il y a presque vingt ans. Pierre rencontre Romain et ses copains lors des manifestations lycéennes contre le CPE (Contrat première embauche), alors qu’il est journaliste à l’Abeille de la Ternoise.…
